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2012/02/23

José Afonso (02/08/1929 - 23/02/1987)

       A falta que fazes ao espírito deste mundo, a falta que fazes ao nosso povo, a falta que fazes 25 anos depois de teres partido. Continuas vivo em cada um de nós, dentro de cada amante e defensor da justiça, da liberdade e da fraternidade humana. Serás para sempre único e insubstituível, Zeca...



      Ton absence fait défaut à l'esprit de ce monde, elle fait défaut à notre peuple, elle fait défaut depuis 25 ans que tu es parti. Mais tu es toujours bien vivant en chacun de nous, en chaque amant et défenseur de la justice, de la liberté et la fraternité humaine. Pour toujours unique et irremplaçable, Zeca...


José Afonso - Enquanto há força

José Afonso - Canção do desterro


Zeca na escadaria da Sé Velha (de pé, segundo a contar da esquerda), antes da Serenata Monumental de 1952.

2012/02/08

Jamor, 1969

        A Briosa no Jamor, 43 anos depois! É tempo de recordar essa mítica final na história da Associação Académica de Coimbra; muito mais que um simples jogo de futebol, um momento decisivo na Crise Académica de 1969. Momentos de grande coragem, momentos de contestação, de oposição ao regime e à opressão por ele organizada...


Final da Taça de Portugal, Sport Lisboa e Benfica - Associação Académica de Coimbra,
Estádio Nacional (Lisboa), 22 de Junho de 1969.

Associação Académica de Coimbra, 1969.

A contestação ao regime em pleno Estádio Nacional; a Crise Académica de 1969.

A contestação estudantil na actual Praça D. Dinis, dias antes da grande final.

Um excerto do documentário "Futebol de Causas"; a final de 1969 e a Crise Académica...

2011/05/18

Les expressions et leurs histoires (II)

“L’habit ne fait pas le moine”

            Les premiers vestiges de l’expression remontent, apparemment, au XIIIème siècle, issus du latin médiéval. Selon certains elle provient de la déformation de la locution latine de Plutarque, barba non facit philosophum, c'est-à-dire la barbe ne fait pas le philosophe.
            D’autres considèrent que l’expression a pour origine un fait historique bien réel. En 1297, François Grimaldi et ses acolytes se déguisent en moines  afin de prendre astucieusement la forteresse du rocher de Monaco (événement représenté sur les armoiries de la Principauté monégasque).
            Cependant, cela pourrait n’être qu’une forme d’ironie. Quand l’expression a surgi les moines étaient bien loin des codes de conduite desquels ils se réclamaient. N’hésitant pas à accumuler des biens, à apprécier les plaisirs de la vie ou encore à participer dans de nombreuses batailles trucidant l’ennemi, ces moines n’étaient pas le reflet de l’image pieuse et chaste qui leur ait habituellement attribué. Qui sait si un quelconque bandit, prêt à déposséder de sa bourse un pauvre moine, n’a pas eu une mauvaise surprise en étant confronté à bien plus fort que lui! Les apparences sont souvent trompeuses…


Blason de la Principauté de Monaco

Expressões vindas da História (II)

“O hábito não faz o monge”

   Antes de mais, e para evitar qualquer confusão, o hábito não significa aqui algo que fazemos frequentemente mas sim as vestes usadas pelos monges.
     Os primeiros vestígios da expressão remontam, aparentemente, ao século XIII, derivando do latim medieval. Segundo alguns, provém da deformação da locução latina que encontramos em Plutarco “barba non facit philosophum”, isto é, a barba não faz o filósofo.
      Outros consideram que a expressão tem por origem um facto histórico bem real. Em 1297, na tentativa de tomar pela astúcia a fortaleza que despontava no alto do rochedo monegasco, François Grimaldi e os seus acólitos decidem vestir-se de monge (facto lembrado no brasão do Principado do Mónaco).
     Finalmente, poderá não ser mais do que a vontade de ironizar. Na verdade, quando surgiu a expressão os monges estavam bem longe dos preceitos que apregoavam. Não hesitando em acumular bens, em apreciar os “prazeres da vida” ou ainda em participar nas batalhas trucidando o inimigo, estes monges não evidenciavam propriamente a imagem de piedade e castidade que lhes é habitualmente atribuída. Assim, quem sabe, algum bandido querendo despojar um pobre monge poderá ter tido uma desagradável surpresa, sendo confrontado com alguém bem mais forte e astuto do que ele. Pois é, as aparências podem ser enganadoras…


Brasão do Principado do Mónaco

2011/05/17

Les expressions et leurs histoires (I)

“Une vérité de La Palice ou une lapalissade”

       Que d’encre n’a fait couler ce brave Monsieur de La Palice!
    Jacques de Chabannes, né en 1470, est devenu célèbre en tant que capitaine durant les Guerres d’Italie. En 1515, il devient Maréchal de France après s’être distingué au cours des batailles de Fornoue, Ravenne, Marignan et Pavie. C’est pendant cette dernière, en 1525, qu’il succombe aux tirs d’une arquebuse. Ses soldats, pour lui rendre hommage, chantèrent sa bravoure en entonnant ces vers: «Un quart d’heure avant sa mort, il faisait encore envie». Apparemment mal compris, ces vers furent déformés donnant lieu à une version pleine de naïveté: «Un quart d’heure avant sa mort, il était encore en vie».
     Deux siècles plus tard, l’académicien Bernard de La Monnoye joua avec cette même naiveté et composa «La Chanson de La Palice». En voici un extrait:

Monsieur d’la Palisse est mort, il est mort devant Pavie,
Un quart d’heure avant sa mort, il était encore en vie.
Il mourut le vendredi, le dernier jour de son âge;
S’il fût mort le samedi, il eût vécu davantage.

        Depuis, une lapalissade est une évidence, une vérité banale, un truisme.

                                           
                        Jacques II de Chabannes de La Palice                                                                    Blason de la famille de Chabannes
(buste de marbre, Musée des châteaux de Versailles et Trianon,
Galerie des Batailles).


Château de La Palice (La Palisse, Allier, France)

Expressões vindas da História (I)

“Uma verdade de La Palice”

Tanta tinta fez verter este bravo senhor de La Palice (ou La Palisse)!
Jacques de Chabannes nasceu em 1470, ficando famoso como capitão nas guerras de Itália; tornou-se, em 1515, marechal de França após ter-se distinguido nas batalhas de Fornovo de Taro, Ravena, Marinhano e Pavia, onde acabou por falecer depois de ser atingido por um tiro de arcabuz.
Os seus soldados, como forma de homenagem, cantaram a sua bravura com os seguintes versos: «Un quart d’heure avant sa mort, il faisait encore envie» (Um quarto de hora antes da sua morte, era ainda de invejar). Este verso fora mal entendido, e posteriormente deformado para: «Un quart d’heure avant sa mort, il était encore en vie» (Um quarto de hora antes da sua morte, ele ainda estava vivo). Mais tarde, La Monnoye compõe a Canção de La Palice:
Na sexta-feira morreu,
foi o último dia que viveu;
Se no sábado tivesse morrido,
certo que teria mais vivido.

Desde então, uma verdade de La Palice significa uma evidência, uma verdade banal, um truísmo.

                                           
                        Jacques II de Chabannes de La Palice                                                                        Brasão da família de Chabannes
(busto de mármore, Musée des châteaux de Versailles et Trianon,
Galeria das Batalhas).


Castelo de La Palice (La Palisse, Allier, França)

2011/03/01

UC: 01/03/1290-01/03/2011

Mais uma vela para a velhinha Universidade de Coimbra, uma das mais ilustres e antigas da Europa. O diploma régio de D. Dinis Scientiae thesaurus mirabilis funda, no dia 1 de Março de 1290, a primeira universidade portuguesa.

Une bougie de plus pour l’Université de Coimbra, une des plus illustres et anciennes d’Europe. Le diplôme du roi Denis Ier du Portugal  Scientiae thesaurus mirabilis fonde, le 1er mars 1290 la première université portugaise.


2011/02/19

Alexandre et le noeud gordien


Jean –Simon BerthélemyAlexandre tranchant le nœud gordien, 1767 (École des Beaux-Arts, Paris, France)


J’affirmai dans un article précédent[1] que la mythologie, tout comme la tradition grecque, sont, à travers un vaste ensemble de textes et de représentations picturales, le témoin d’un monde antique. Ainsi, et avec la notion que l’Histoire est mouvante, la légende que j’ai décidé de traiter ici est certainement l’une des plus actuelles: “Le nœud gordien”. Voyons plutôt…
Asie Mineure (actuelle Turquie). VIIIème siècle av. J.-C.
Le royaume de Phrygie (au centre de la Turquie) est confronté à un problème difficile à résoudre : le roi n’a pas engendré d’héritiers et sa succession est en danger. Un oracle annonça alors que le nouveau monarque pénétrerai un jour au grand galop, sur son char, dans le temple de Zeus de la capitale. Ceux qui furent avisés de la prédiction étaient exclus: l’innocence de l’âme était requise. 
Un jour, Gordius, un paysan de Phrygie, voit un aigle se poser sur le joug de sa charrue et y demeurer toute la journée. Interprétant cela comme un signe de Zeus dont l’aigle était un des attributs, l’humble laboureur décide d’honorer le dieu des dieux d’une offrande dans le temple de la capitale. Ainsi, Gordius entre dans la demeure de Zeus, debout sur son char. Il est immédiatement acclamé roi des Phrygiens… un roi de l’innocence. En mémoire de ce si peu probable, mais non moins glorieux couronnement, Gordius veut perpétuer l’instant. Le perpétuer à travers un symbole, à la fois digne de son humble condition de laboureur et d’artisan, mais aussi de toute la noblesse de son savoir, du labeur de ses mains, de la façon dont il a toujours travaillé la terre et façonné les fruits d’une Nature difficile mais généreuse. Gordius lie le timon de son char à l’autel de Zeus avec un nœud très élaboré. Une corde dont les bouts s’entrelacent harmonieusement en constituant le plus parfait des nœuds, la somme de tous ses savoirs, de tout son art. Ce nœud, sur lequel il s’incline plusieurs heures, c’est l’image de sa propre existence: méticuleuse, empreinte de son amour pour les choses bien faites. C’est le temps de sa vie, comme un long fleuve tranquille. Ces croisements infinis sont le symbole même de sa créativité et de la justesse de ses gestes, de son ingéniosité et de sa simplicité, en somme la célébration d’une alliance, car un nœud c’est avant tout un lien, une connexion, comme celle qui relie la terre aux hommes. N’était pas encore né celui qui un jour serait capable de défaire le produit de tant d’habileté!
Au-delà de cette légende, nous ne savons pas grand-chose sur le règne de Gordius. Plus célèbre deviendra son fils, Midas, a qui la mythologie grecque attribuait le don de changer tout ce qu’il touchait en or. Le phrygien Midas gouverna du haut de son trône dans sa capitale Gordion, un héritage de son père.
Un nouvel oracle vient consacrer le nœud alambiqué de Gordius dans la tradition grecque: qui saurait le dénouer deviendrait le maître de l’Asie. Beaucoup l’ont admiré, beaucoup ont tenté de le comprendre pour mieux le défaire, d’entrevoir son mystère, de résoudre l’énigme qu’il enfermait. Mais “rendons à César ce qui est à César” [2], seul Gordius connaissait le secret de son nœud, ce produit de son talent et de sa féconde imagination, seul lui serait capable de le délier. Les siècles passèrent sans que ce labyrinthe dévoile sa sortie, jusqu’à ce que n’apparaisse Alexandre III de Macédoine, dit Le Grand. L’Asie Mineure est la proie des razzias macédoniennes e finit presque intégralement sous son emprise. Durant l’occupation de la Phrygie, Alexandre entend parler de cet oracle et décide de résoudre l’énigme devant laquelle tous avaient échoué. Dans le temple de Zeus, après une courte observation du labeur de Gordius, Alexandre tranche le nœud de son épée. Autour de lui, un silence assourdissant fait trembler toute l’Humanité, fait frémir tout l’ardu travail de l’Homme pour s’extraire de son animalité originelle. Ce coup d’épée transversal, froid et calculé, fonde le monde moderne, crée un «monde de la simplification hâtive; de l’expérience qui détruit son objet; de l’action efficace au détriment du sens; de la tricherie; de la rupture des liens» [3]. Voici le monde moderne, otage de toutes ces images véhiculées par les médias, de ces “images d’Épinal” adoptés par presque tous, du matérialisme des sociétés modernes. Le geste d’Alexandre illustre nos préoccupations d’aujourd’hui, c'est-à-dire le rejet de la complexité. En défaisant si simplement le mystère du nœud gordien, c’est toute la symbolique d’un monde composé et réel qui s’écroule pour faire place à un monde dépourvu de secrets et de sens. C’est notre monde, celui où se trouvent nos écoles[4]
Durant dernière décennie, l’éducation a été orientée par l’ombre de cet atroce coup d’épée, guidée par des processus simplificateurs et dépourvus de cohérence en suivant le chemin tracé par la tyrannie budgétaire. C’est de l’éducation qu’il est ici question, du présent et surtout du futur de notre pays. Exigences réduites; évaluations décaractérisées, simplistes, sans aucune ambition d’excellence; objectifs de plus en plus réducteurs;  apprentissages appauvris: ce sont les résultats des politiques éducatives tracées par la bureaucratie. Dans la pratique, les exemples sont nombreux, que ce soit dans les sciences humaines, dans les sciences exactes ou mêmes dans les matières plus enclines aux aptitudes manuelles. Appauvrissement généralisé… Examens de fin de secondaire (l’équivalent du bac, au Portugal) qui, d’années en années, deviennent de plus en plus accessibles, pas par la meilleure préparation des élèves, mais par ce que l’on sollicite un niveau de moins en moins élevé. Que dire des œuvres qu’il fallait, il y a quelques années, maîtriser en vue de l’examen national de langue portugaise? Que dire des sujets qui requéraient des capacités d’analyse, d’interprétation, de démonstration, d’esprit critique? Je cite le préambule du Plan National de Lecture (projet du Ministère de l’Éducation mis en place depuis 2007): «Le Plan National de Lecture a pour objectif central élever le degré d’alphabétisme des Portugais et permettre au pays de se hisser au niveau de ses partenaires européens.» Mais comment y arriver si les examens de langue portugaise n’exige plus la maîtrise (j’ai même envie d’écrire la lecture) des œuvres de référence de notre littérature? En fait, ce n’est peut-être qu’une question de statistique, de chiffres à manipuler, histoire de bien paraitre… Si l’évaluation n’exige pas, ou très peu, pourquoi insister? Comment espérer que nos élèves soit le reflet d’une logique différente? Je le répète, pourquoi insister? Et bien, parce que c’est notre devoir en tant qu’éducateurs, parce que se sont nos propres fils, petits-fils, parce qu’ils sont l’avenir de la nation. Voilà des raisons bien suffisantes je crois…
Mais si les directives de l’éducation émanent des sphères du pouvoir, cela n’exonère pas pour autant les professeurs; une partie de cette lente dégradation du système éducatif nous incombe aussi. Il n’est pas encore possible de quantifier par décret l’exigence de chaque enseignant vis-à-vis de ses propres élèves! L’avenir est aussi entre nos mains. Je récupère le titre de l’excellent ouvrage du penseur personnaliste, Denis de Rougemont,  pour conclure qu’il faut «penser avec les mains»…

[1] Voir «Le lit de Procuste», 05/11/2010.
[2] Mt., 22, 21.
[3] Rougemont, Denis de, Doctrine Fabuleuse, Neuchâtel, Ides et Calendes, 1947, p. 96
[4] Je me réfère évidemment au monde scolaire portugais, bien que la tendance soit générale et que certaines considérations puissent s’appliquer également aux écoles françaises.

2011/01/25

Efemérides: 25 de Janeiro

1579: assinatura do Tratado de União de Utrecht que leva à criação dos Países-Baixos;

   União de Utrecht (25/01/1579)                                            Bandeira do príncipe Guilherme I de Orange-Nassau

1855: morte (suicídio?) do poeta francês, Gérard de Nerval;

Gérard de Nerval por Nadar                As filhas do fogo, As quimeras

1947: Alphonse Gabriel Capone, mais conhecido como Al Capone, não resiste a um ataque cardíaco;

    
    Al Capone nos ficheiros do FBI                                              Assinatura de Alphonse Capone

1986: a sonda Voyager II descobre um décimo anel, dez luas suplementares,  num total de quinze na altura, e o pólo norte (localizado onde a Terra e outros planetas têm o equador) no planeta Urano;

   Voyager II passando à frente de Urano (simulação)

1990: morte da última estrela mítica do cinema de Hollywood do pós-guerra, Ava Gardner.

   Excerto de Mogambo (1953), de John Ford

Éphémérides: 25 janvier

1579: signature du Traité d’Union à Utrecht qui voit la création des Pays-Bas;

   L’Union d’Utrecht (25/01/1579)                                            Drapeau du prince Guillaume Ier d’Orange-Nassau

1855: mort (suicide?) du poète français, Gérard de Nerval;

Gérard de Nerval par Nadar                Les filles du feu, Les chimères

1947: Alphonse Gabriel Capone, plus connu sous le nom d’Al Capone, succombe à une crise cardiaque;

    
    Al Capone fiché par le FBI                                                      Signature d’Alphonse Capone

1986: la sonde Voyager II découvre un dixième anneau, dix lunes supplémentaires, pour un total de quinze à l’époque, et un pôle nord (à l’endroit où la Terre et d’autres planètes ont leur équateur) à la planète Uranus;

   Voyager II passant devant Uranus (simulation)

1990: mort de la dernière star mythique du cinéma hollywoodien de l’après-guerre, Ava Gardner.

    Extrait de Mogambo (1953), de John Ford

2011/01/18

L’année 2010 – O ano 2010

L’année 2010 vue par les cartoonistes (sélection du Courrier International)
O ano de 2010 visto pelos cartonistas (selecção do Courrier International)

01 - Matson, St Louis Post (EUA)
14/01/2010

02 – Bertrams, Het Parool  (HOL)
26/01/2010

03 – Burki, 24 Heures (SUI)
16/03/2010

04 – Bleibel, Al Mustaqbal (LIB)
16/04/2010

05 – Stephff
18/05/2010

06 – Stavro
02/06/2010

07 – Kichka
12/07/2010

08 – Haddad
23/08/2010
"Bouchehr. Au secours!"
"Bouchehr. Socorro!"

09 – Pismestrovic
21/09/2010

10 – Stephff
13/10/2010

11 – Schrank, The Independent (GB)
23/11/2010

12 – Zanetti
07/12/2010